Tout au fond de Paris Match cette semaine, quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur Jonny Wilkinson. Je le savais versé dans le bouddhisme, féru d’entraînement, heureux à l’ombre des vignes de Bandol, quoiqu’il est un peu grand pour être à l’ombre des vignes, mais pas fana de bagnoles. Normal, puisqu’il ne l’est pas. Il fallait bien un article dans l’un des plus grands hebdos français pour découvrir cette non-information. Jonny Wilkinson prend la pose adossé à la nouvelle Coccinelle, mais il ne semble pas qu’il l’ait testée. On découvre toutefois quelques anecdotes inédites de la jeunesse quasi-turbulente de Sir Jonny : enfants, avec son frère, ils grimpaient dans le coffre de la voiture de papa au retour de l’entraînement tant ils étaient crottés, plus tard, il a emmené une de ses premières voitures jusque sur le terre-plein d’un rond-point. Enfin, preuve qu’il est un homme de goût, la voiture de ses rêves n’est autre qu’une Mustang décapotable.