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Article sans titre

Publié le 21 novembre 2011 par Marigotine

 

Brise de Nice.

Celle là il fallait la faire!

Chapeau bas l'artiste....

<b></div>Brise de Nice</b>. Ce cliché est probablement l’un des plus beaux que nous ayons jamais publiés. On croirait un tableau de Magritte, et c’est au «coup de mer» qui a déferlé le 8 novembre sur une partie de la Côte d’Azur que nous le devons. Le décor, naturel, est celui de la Promenade des Anglais, à Nice. La vague est très haute puisqu’elle a déjà traversé la plage, mais son écume se confond ici avec celle des nuages, encadrée par une architecture épurée dont elle ne franchit pas la barrière, éclaboussant tout d’un camaïeu de blancs qui respire la sérénité. Seul un peintre aurait pu normalement inventer un tel contraste avec la fureur des éléments, mais c’est un photographe qui l’a capturé. Brise de Nice. Ce cliché est probablement l’un des plus beaux que nous ayons jamais publiés. On croirait un tableau de Magritte, et c’est au «coup de mer» qui a déferlé le 8 novembre sur une partie de la Côte d’Azur que nous le devons. Le décor, naturel, est celui de la Promenade des Anglais, à Nice. La vague est très haute puisqu’elle a déjà traversé la plage, mais son écume se confond ici avec celle des nuages, encadrée par une architecture épurée dont elle ne franchit pas la barrière, éclaboussant tout d’un camaïeu de blancs qui respire la sérénité. Seul un peintre aurait pu normalement inventer un tel contraste avec la fureur des éléments, mais c’est un photographe qui l’a capturé. " title="Article sans titre" />Brise de Nice. Ce cliché est probablement l’un des plus beaux que nous ayons jamais publiés. On croirait un tableau de Magritte, et c’est au «coup de mer» qui a déferlé le 8 novembre sur une partie de la Côte d’Azur que nous le devons. Le décor, naturel, est celui de la Promenade des Anglais, à Nice. La vague est très haute puisqu’elle a déjà traversé la plage, mais son écume se confond ici avec celle des nuages, encadrée par une architecture épurée dont elle ne franchit pas la barrière, éclaboussant tout d’un camaïeu de blancs qui respire la sérénité. Seul un peintre aurait pu normalement inventer un tel contraste avec la fureur des éléments, mais c’est un photographe qui l’a capturé. " border="0" />   Ce cliché est probablement l’un des plus beaux  jamais publiés. On croirait un tableau de Magritte, et c’est au «coup de mer» qui a déferlé le 8 novembre sur une partie de la Côte d’Azur que nous le devons. Le décor, naturel, est celui de la Promenade des Anglais, à Nice. La vague est très haute puisqu’elle a déjà traversé la plage, mais son écume se confond ici avec celle des nuages, encadrée par une architecture épurée dont elle ne franchit pas la barrière, éclaboussant tout d’un camaïeu de blancs qui respire la sérénité. Seul un peintre aurait pu normalement inventer un tel contraste avec la fureur des éléments, mais c’est un photographe qui l’a capturé. (Bruno Bebert/SIPA) Contrôle renforcé. Allez, pour le BAC français de 2012,                                                Réquisition du plateau des 1000 vaches....
<b></div>Contrôle renforcé.</b> Ça ne rigole plus dans ce collège chinois de la province du Hubei. Excédés par l’imagination dont les élèves font preuve pour tricher, leurs enseignants ont décidé de les flanquer tous (soit près d’un millier) dans la cour de récréation, afin de leur faire passer un contrôle sur des tables suffisamment espacées les unes des autres. Un remède qui ne peut pas être appliqué par tous les temps ni n’importe où. Au grand dam du gouvernement chinois, qui ne sait plus quoi inventer pour lutter contre la fraude aux examens, qu’il s’agisse du Gaokao (équivalent du bac) ou des concours d’entrée dans la fonction publique, disputés par 60 candidats pour une seule place. Contrôle renforcé. Ça ne rigole plus dans ce collège chinois de la province du Hubei. Excédés par l’imagination dont les élèves font preuve pour tricher, leurs enseignants ont décidé de les flanquer tous (soit près d’un millier) dans la cour de récréation, afin de leur faire passer un contrôle sur des tables suffisamment espacées les unes des autres. Un remède qui ne peut pas être appliqué par tous les temps ni n’importe où. Au grand dam du gouvernement chinois, qui ne sait plus quoi inventer pour lutter contre la fraude aux examens, qu’il s’agisse du Gaokao (équivalent du bac) ou des concours d’entrée dans la fonction publique, disputés par 60 candidats pour une seule place. " title="Article sans titre" />Contrôle renforcé. Ça ne rigole plus dans ce collège chinois de la province du Hubei. Excédés par l’imagination dont les élèves font preuve pour tricher, leurs enseignants ont décidé de les flanquer tous (soit près d’un millier) dans la cour de récréation, afin de leur faire passer un contrôle sur des tables suffisamment espacées les unes des autres. Un remède qui ne peut pas être appliqué par tous les temps ni n’importe où. Au grand dam du gouvernement chinois, qui ne sait plus quoi inventer pour lutter contre la fraude aux examens, qu’il s’agisse du Gaokao (équivalent du bac) ou des concours d’entrée dans la fonction publique, disputés par 60 candidats pour une seule place. " border="0" />   Ça ne rigole plus dans ce collège chinois de la province du Hubei. Excédés par l’imagination dont les élèves font preuve pour tricher, leurs enseignants ont décidé de les flanquer tous (soit près d’un millier) dans la cour de récréation, afin de leur faire passer un contrôle sur des tables suffisamment espacées les unes des autres. Un remède qui ne peut pas être appliqué par tous les temps ni n’importe où. Au grand dam du gouvernement chinois, qui ne sait plus quoi inventer pour lutter contre la fraude aux examens, qu’il s’agisse du Gaokao (équivalent du bac) ou des concours d’entrée dans la fonction publique, disputés par 60 candidats pour une seule place. (Jin Siliu/Chinafotopress/Newscom/ABACA) Échec et mat. Encore un affaire de dopage, toute l'Espagne à une dent contre les propos de Yannick Noah! Sans vouloir faire Madame jm'en mêle, est -il le mieux placé pour ce genre de critique?
Dans une tribune publiée samedi dans Le Monde, l'ancien tennisman se demandait «comment une nation peut-elle du jour au lendemain dominer le sport à ce point ?» se livrant à des interrogations sur les performances des sportifs espagnols ces dernières années. «Aujourd'hui, le sport c'est un peu comme Astérix aux Jeux Olympiques : si tu n'as pas la potion magique, c'est difficile de gagner, écrit-il. Et là, on a l'impression que, comme Obélix, ils sont tombés dans la marmite. Les veinards.»
<b></div>Échec et mat.</b> Ils ont beau avoir l’air de jouer encore, la partie est terminée. Poignardé sur la mâchoire du blanc, le noir est condamné. Scène ordinaire de la vie sauvage, sauf qu’ici, une fois n’est pas coutume, c’est le poisson qui triomphe du mammifère. Le plus gros (jusqu’à6mètres et 2 tonnes) et le plus dangereux de tous les poissons : un grand requin blanc, redoutable prédateur, connu des cinéphiles et des surfeurs pour faire partie des rares espèces de squales (environ 30 sur 400) qui s’attaquent à l’homme. Celui-ci s’apprête à déjeuner au large de l’Afrique du Sud, mais on en trouve aussi à La Réunion où six attaques, dont deux mortelles, se sont produites depuis le début de l’année. Échec et mat. Ils ont beau avoir l’air de jouer encore, la partie est terminée. Poignardé sur la mâchoire du blanc, le noir est condamné. Scène ordinaire de la vie sauvage, sauf qu’ici, une fois n’est pas coutume, c’est le poisson qui triomphe du mammifère. Le plus gros (jusqu’à6mètres et 2 tonnes) et le plus dangereux de tous les poissons : un grand requin blanc, redoutable prédateur, connu des cinéphiles et des surfeurs pour faire partie des rares espèces de squales (environ 30 sur 400) qui s’attaquent à l’homme. Celui-ci s’apprête à déjeuner au large de l’Afrique du Sud, mais on en trouve aussi à La Réunion où six attaques, dont deux mortelles, se sont produites depuis le début de l’année. " title="Article sans titre" />Échec et mat. Ils ont beau avoir l’air de jouer encore, la partie est terminée. Poignardé sur la mâchoire du blanc, le noir est condamné. Scène ordinaire de la vie sauvage, sauf qu’ici, une fois n’est pas coutume, c’est le poisson qui triomphe du mammifère. Le plus gros (jusqu’à6mètres et 2 tonnes) et le plus dangereux de tous les poissons : un grand requin blanc, redoutable prédateur, connu des cinéphiles et des surfeurs pour faire partie des rares espèces de squales (environ 30 sur 400) qui s’attaquent à l’homme. Celui-ci s’apprête à déjeuner au large de l’Afrique du Sud, mais on en trouve aussi à La Réunion où six attaques, dont deux mortelles, se sont produites depuis le début de l’année. " border="0" />   Ils ont beau avoir l’air de jouer encore, la partie est terminée. Poignardé sur la mâchoire du blanc, le noir est condamné. Scène ordinaire de la vie sauvage, sauf qu’ici, une fois n’est pas coutume, c’est le poisson qui triomphe du mammifère. Le plus gros (jusqu’à6mètres et 2 tonnes) et le plus dangereux de tous les poissons : un grand requin blanc, redoutable prédateur, connu des cinéphiles et des surfeurs pour faire partie des rares espèces de squales (environ 30 sur 400) qui s’attaquent à l’homme. Celui-ci s’apprête à déjeuner au large de l’Afrique du Sud, mais on en trouve aussi à La Réunion où six attaques, dont deux mortelles, se sont produites depuis le début de l’année. (David Yarrow/Barcroft Media/ABACA)

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