Magazine Humeur

Les potins d'humour (article 105)

Publié le 09 juin 2011 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, il est préférable de lire le descriptif, merci.

Elle était la ricaneuse de la télé! L'est-elle restée?

Des restes d'intrusions imagés me refoulaient dans mon casier "souvenirs enregistrés" et je repensais à ce premier rendez-vous que Jodie et moi s'étions données, lorsque je cheminais aux États-Unis. Nous avions incidemment loué une chambre d'hôtel afin de ne point attiser certains regards et certaines rumeurs.

Oui, notre premier soir, notre première nuit... et il a failli peu pour que je décroche de cette invitation sentimentale. Vous voulez voir cette image que j'ai en tête, mesdames et messieurs? À votre souhait...

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 Je souriais mais je maudissais son maudit cellulaire!

Et écoutez pour quelques instants, la bande-sonore de cette image. Le romantisme, la magie, les sensations...

 

Jodie Foster - Putain de merde! Ce cellulaire m'a coûtée excessivement cher et je ne peux même pas accéder aux messages manqués! Fait chier!

snorounanne - Tu regarderas tout ça, demain. C'est enregistré. Ne te casse pas la tête et s'il te plaît, ne brise pas cette soirée intime que nous avons.

Jodie Foster - Pardonne-moi. Je suis sans manière. Tu as raison. Notre intimité a plus d'importance que cette bricole technologique qui ne vaut pas un centime! Tiens! Je le fourre dans mon sac à main. Je n'y pense plus.

snorounanne - C'est bien.

Jodie Foster - (ouvrant son sac à main et regardant une dernière fois) Quelle saloperie! Je paie des centaines de dollars pour une babiole qui ne fonctionne qu'à moitié!

snorounanne - Bon... je vais à la salle de bain. J'ai des besoins intimes à préparer. (elle n'avait point répondu. Son cellulaire l'inquiétait trop) Jodie? (elle se concentrait sur son jouet) À plus...

 

Il y a des gens que le laptop est infiniment plus important que tout autre espèce d'humanoïde, d'autres gens tiennent une bonne importance sur leur cellulaire, leur portable et le reste autour n'existe presque plus. Alors, la technologie a ses avantages et ses désavantages. J'ai, au moins, avec Genny, la chance de ne pas me trouver entre son portable et son laptop.

Parlant de Genny, au matin, ce samedi 4 juin, on s'était levées, c'est un petit atout coquet que nous avons conçu, de se lever en même temps quand nous dormions ensemble, sauf le dimanche! On se prélassait au lit, discutant de tout et de rien et même que nous dormions jusqu'à des dix heures du matin. Et c'est moi, cette fois-ci, qui passais le week-end chez elle. Donc, je m'étais rendue le vendredi, après les nouvelles TVA de 17 heures.

Je lui racontais ma vision de la veille. Et, la vision s'exécutait en prenant mon bain. À l'heure que nous conversions, il était tout près des neuf heures du matin. Je m'étais habillée et elle aussi. Nous avions prévu une sortie.

 

Geneviève Dubois - Une explosion, des flammes jaillissant de l'explosion, de la fumée très dense, des rues désertes, des voitures abandonnées... ça sort de la fiction.

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 son sourire taquin...

snorounanne - C'est la vision que j'ai eue. Je te la raconte telle que je l'ai sentie. Je ne sais pas, par contre, dans quelle ville. Mais, toute vision a un degré frappant. Ah pis, avec ce que tu affiches sur tes lèvres... de la fiction... ce serait peut-être bien, en fin de compte, que je me taise.

Geneviève Dubois - Tes visions, mon beau coeur de velours, ne donnent pas de précision... comme le lieu, la date...

snorounanne - J'y étais... tu comprends? Quand j'ai ces sortes de visions, c'est comme si mon corps se téléportait dans le temps... comme s'il était propulsé dans un futur proche.

Geneviève Dubois - Je sais, tu m'as éclairée sur bien des points et je suis témoin de ce que tu es apte à faire. Je suis loin d'avoir oubliée pour ma petite soeur, Karo.

snorounanne - Ce qui me chicote... est... pourquoi n'y avait-il personne?

Geneviève Dubois - Un contrôle absolu géré par des extraterrestres? (sourire en coin)

snorounanne - Toi... toi, toi, toi! Fais-moi plaisir... ne dis plus rien.

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Au fond, ç'avait un certain sens ce qu'elle décrivait.

Là aussi vous aimeriez voir cette vision imagée que j'ai eue? Eh bien, vous êtes gâtés! Mais... cette image est seulement qu'un moyen visuel de vous faire comprendre la vision. Ne prétendez pas qu'elle est telle que vous la verrez, mesdames et messieurs.

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 Avez-vous une petite idée de l'endroit?

Geneviève Dubois - Dans quel délai tes visions se produisent-elles? À court terme? À long terme?

snorounanne - Je ne sais pas.

Geneviève Dubois - Les précédentes ont eu lieu dans un court terme ou un long terme?

snorounanne - Dans un court terme. Mais... mais ce n'est jamais pareil.

Geneviève Dubois - Raconte-moi en détail. Comment tu t'es sentie, comment tu voyais cette catastrophe.

snorounanne - On peut finir notre café? Je dois aller chez ma mère tantôt l'aider à planter des fleurs, tailler des arbustes, tondre la pelouse.

Geneviève Dubois - Et notre sortie, ma chérie?

snorounanne - Ah merde... j'oubliais. Et moi qui lui ai dit de compter su mon aide... qu'est-ce que je fais?

Geneviève Dubois - Demain, il fera très beau encore. On ira demain pour la visite du jardin botanique. (remarquant quelque chose d'anormal)

snorounanne - Si c'est okay avec toi. Je peux aussi la rappeler et remettre à demain.

Geneviève Dubois - Tu... tu as du sang... coulant de ton nez.

snorouranne - (mettant un doigt sous le nez) Pas encore... bordel! (allant à la salle de bain)

Geneviève Dubois - Ne t'énerve pas, ça ira mieux... si... si tu n'énerves pas.

 

La chaleur, le temps sec m'aurait-il dérangé le système? Ou cela avait affaire avec cette vision? J'avais fermé la porte de la salle de bain. Dans cet état, je préfèrais être seule et me raser l'esprit pour répondre à mes inquisitions. J'étais fatiguée, fatiguée dans ma tête. J'épongeais mon nez après avoir jeté une dizaine de kleenex au poubelle.

Genny m'attendait derrière la porte, inquiète.

Geneviève Dubois - Ça va? Je ne t'entends pas, alors je m'inquiète, mon poussin.

snorounanne - Oui. (me regardant une dernière fois dans le miroir et sortant de la salle de bain) Ça va.

Geneviève Dubois - Dis-moi...  ça arrive souvent?

snorounanne - (passant devant elle) Je ne pense pas.

Geneviève Dubois - (devinant que ce n'était pas la première fois) Tu devrais voir un médecin. J'en connais un. Et, c'est une femme. C'est le mien. Elle est fabuleuse.

snorounanne - (revenant à la cuisine) Et onéreuse? (reprenant ma tasse de café)

Geneviève Dubois - Écoute... il y a longtemps que tu n'as pas consulté,...

snorounanne - Et je n'en ai pas vraiment envie. Ce n'est qu'un saignement de nez. Il a fait chaud ces derniers jours et le temps était au sec. Puis... ça pourrait concerner la vision.

Geneviève Dubois - Alors, si cela ne dépend que de la vision, elle ne pourra pas t'être d'une grande aide.

snorounanne - Non. (déposant la tasse dans le lave-vaisselle) Tu as décidé de l'heure?

Geneviève Dubois - Pour...?

snorounanne - Pour notre sortie. 

Geneviève Dubois - Ça été reporté à demain. Tu n'allais pas aider ta mère pour le jardinage?

snorounanne - (secouant la tête) Bien oui... mais qu'est-ce que j'ai d'oublier?

 

Au soir, ma bien-aimée s'était assoupie sur le canapé. Et moi, au lit je dormais. Nous étions trois à compléter les petites besognes que ma mère désirait accomplir. Et, en plein soleil, sur plusieurs heures, ça nous avait mises complètement sur le neutre. Elle se réveillait en sursaut. Croyant que je l'avais appelée par son nom. Je l'ai su parce que le lendemain matin au déjeuner, elle en avait fait part.

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Un brusque réveil

Geneviève Dubois - Tu es debout? (aucune réponse)

Elle ramassait les papiers, ces genres de dossiers criminels qu'elle emportait pour en faire de la révision.  Et constatait qu'une note avait été glissée parmi ces papiers. On la convoquait, lundi, 14 heures, chez monsieur Paul Fraser, professeur en parapsychologie, à Montréal. Mais cela... elle ne m'en faisait aucunement part.

Dimanche matin, 09:49. Genny entreprenait son jogging.  Avant d'aller visiter le jardin botanique, l'insectarium et le biodôme. Elle n'exerçait que 3 fois par semaine le jogging et pour elle, c'était amplement. Étant donné qu'elle passait aussi quelques heures au gym.

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Le sourire, toujours un si beau sourire. Elle était connue du quartier.

Je vous sens endormis? Non?  Mais oui... ou bien c'est moi? Je vous l'ai dit, j'ai la tête fatiguée.

 

Lundi 6 juin 2011. Heure- 16:35

 

Voici mesdames et messieurs, la présentation de l'émission d'Humour! Eh pis oui! Elle était fortement déjà avancée dans l'heure. Euh... minute... je sens aussi que vous cherchez de quoi... vous êtes-vous éparpillés dans la lecture? Vous cherchez quoi au juste? Hen? Comment? Le rendez-vous de 14 heures qu'avait Genny? L'aurais-je oublié de... allons donc! N'essayez pas de contrôler mes écritures s'il vous plaît. Je n'ai pas oublié. Alors, calmement poursuivons dans cette vague de l'émission d'Humour.

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Mettez-en plein la vue dans mon courriel... mais... vous ne l'avez pas fait auparavant...

snorounanne - Notre deuxième volet, mesdames et messieurs, nous allons nous détendre, nous décompresser. Vous aimez lire, voir des potins? Du Québec et des États-Unis? Déconner pour en rire est le sujet qui suit. Et... j'ai aussi ce grand plaisir hilarant d'avoir comme co-animatrice...  mon invitée, madame Suzanne Lapointe. (elle souriait)

Suzanne Lapointe - J'ai aussi ce plaisir drôle de faire votre émission. Et... et de pouvoir voir de mes propres yeux que...

snorounanne - Que quoi madame Lapointe?

Suzanne Lapointe - (me regardant en riant) Êtes-vous obligée de vous habiller à la Mongrain et d'avoir ce décor à la Mongrain pour animer votre propre émission?

snorounanne - Commencez pas, vous... Sachez que pour la télé, y a rien qui nous empêche de commettre le ridicule. Madame Suzanne Lapointe, soyez la très bienvenue à l'émission d'Humour.

 

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Est-ce que vous diriez que c'est de la copie conforme?

snorounanne - J'ai appris pas plus tard qu'aujourd'hui, et grâce à la recherchiste, Margot... que votre date de naissance est le 16 mai 1934. Vous êtes une bébitte à cornes tout comme ma mère. Vous avez alors 77 ans.

Suzanne Lapointe - Et le rire a pas lâché! (pouffant de rire)

snorounanne - Ne le lâchez pas, vous êtes reconnue partout au travers de la province comme étant celle qui ricanait tout le temps devant la caméra.

Suzanne Lapointe - J'ai une question, madame d'Humour.

snorounanne - Oui? Est-elle coûteuse? Parce que là, on doit dire aux téléspectateurs et lecteurs qu'on fait du direct et tout peut arriver...

Suzanne Lapointe - (souriant) Vous venez de me faire perdre ma question...!

snorounanne - Pas vrai? J'ai fait ça? Il vous en faut peu pour vous déconcentrer... (souriant)

Suzanne Lapointe - Pas juste... j'avais une bonne question et vous me l'avez faite oublier.

snorounanne - Ça va revenir. C'est ça la vieillesse. Bon! On saute sur le sujet tout chaud. Déconner pour en rire. Vous allez animer, madame Lapointe.

Suzanne Lapointe - Je veux bien.

snorounanne - On a déjà eu Miss Piggy comme co-animatrice à l'émission, vous ne serez pas terrible,

Suzanne Lapointe - C'est gentil.... je sais pas si c'est un compliment que vous me lancez... Miss Piggy et moi... se ressemblent-on?

snorounanne - Vous aimez les hommes?

Suzanne Lapointe - Oh... oui! Je les aime! Et ... pourquoi cette question?

snorounanne - Vous êtes comme elle. (parcourant le premier potin) Je fais la lecture pour les gens à la maison qui nous écoutent et pour nos chers bons lecteurs qui nous lisent, puisque j'ai pigé ces potins sur un site web de potins.

Suzanne Lapointe - C'est-à-dire, les malentendants.

snorounnane - Appelez ça comme vous voulez. On argumentera pas là-dessus, madame Lapointe. On a des nouvelles, des potins à potiner et commençons avec: Julie Masse ne s'ennuie pas de la chanson. C'est son mari, Corey Hart qui le dit.

Suzanne Lapointe - C'est la chanteuse qui chantait, ça vaut rien, ça vaut rien...? (riant puis prenant le fou rire)

snorounanne - Vous êtes une comique, vous. Non... elle chantait, c'est zéro, c'est zéro... ayoye! 17 ans ensemble, et toujours heureux! On voit pu ça de nos jours... dommage!

- Corey Hart et Julie Masse, ça fait un bail qu'on n'a pas entendu parler d'eux... et encore plus, qu'on ne les a pas entendu chanter. Le couple vit sous le soleil des Bahamas et fait maintenant des allers-retours en Espagne afin que leurs enfants (15, 12, 11, 7 ans) puissent bénéficier de bons cours de tennis. Quant à Julie, il semble qu'elle ne s'ennuie pas de la chanson... mais pour Corey, c'est une autre paire de manche! Vous avez le fou rire, madame Lapointe... on peut prendre une pause, si vous le voulez.

Suzanne Lapointe - Non ça va. Je lis en même temps que vous sur ma feuille et je vois ce qui me fait tant rire.

- On vous a écrit le même texte? J'espère... et voici ce que Corey Hart en dit: « La musique est en moi depuis toujours. Mais je vais vous expliquer quelque chose: mes parents se sont séparés quand j'étais très jeune et je voyais mon père à peine une fois par année. Ça m'a marqué et j'ai décidé que je ne pouvais pas faire une carrière en chanson et élever une famille en même temps. »

- J'énumère les petits rejetons. Ils en ont quatre: India, River, Dante et Rain.

Suzanne Lapointe - Pis, le cinquième s'appelera, Bin el Ouidane. (essayant de ne pas trop rire)

snorounanne - (retenant mon sérieux) Bin la douine? Non mais, c'est quoi ça veut dire?

Suzanne Lapointe - Une chance... une chance qu'on a écrit la réponse... (riant) ça veut dire: entre les fleuves.

snorounanne - Ça sort d'où?

Suzanne Lapointe - Sûrement pas d'une canne de fève au lard! (éclatant de rire)

snorounanne - Bon... est partie... On va faire une pause, mesdames et messieurs et soyez pas découragés. À plus!

Revenant des pauses commanditaires, Suzanne Lapointe avait une boîte de kleenex à sa portée. Et nous avons, pour vous, mesdames et messieurs, une magnifique photo du couple Hart et Masse.

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C'est beau l'amour quand ça peut durer

snorounanne - Nous revoilà! Et toujours en compagnie de la belle et formidable madame Suzanne Lapointe. Vous êtes okay?

Suzanne Lapointe - Oui oui...

snorounanne - Un autre potin, une autre nouvelle sur l'actrice Jodie Foster.

- Lors d'une entrevue à Cannes, l'une des journalistes du Échos Vedettes a posé à Jodie Foster une question en français (puisqu'elle parle très bien notre langue). Mais puisqu'elle n'avait pas le droit de répondre en français parce que le Festival de Cannes avait expréssement demandé à ce que ce soit comme ça, Jodie lui a répondu que puisqu'elle était Canadienne, elle allait lui répondre dans la langue de Shakespeare.

- La journaliste a alors rétorqué: « Noooooooonnn, je suis Québécoise! »
Jodie: « Ah! Québécois», et en prenant l'accent québécois: « C'est ben, ben, ben l'fun, fun, fun... Tabarnak!!! »

- Qu'est-ce qu'on aurait donné pour voir la tronche de tous les médias anglophones qui ne devaient rien comprendre... et voir la binette de Jodie pousser le juron le plus populaire de notre vocabulaire! Une photo à vous montrer.

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 ben, ben, ben l'fun de les soupconner de déconner!

Suzanne Lapointe - Ah ben coudon... notre langue québécoise est sacrée... (sourire large) C'était pas... c'était pas votre ex?

snorounanne - Vous lisez où cette nouvelle? C'est pas écrit sur ma feuille.

Suzanne Lapointe - Non, en fait, ça m'a passée par l'esprit.

snorounanne - Continuons cette fois-ci avec Ima qui chantera l'hymne national lors du Grand Prix du Canada!

- Gros privilège pour la chanteuse Ima, puisqu'elle interprétera l'hymne national le 12 juin prochain, dans le cadre du Grand Prix de Formule 1 du Canada! Quelle chance elle a, car elle se fera entendre par le monde entier! En fait, le Grand Prix est diffusé dans 188 pays et est visionné par plus de 100 millions de personnes! Il doit y avoir une bonne batch de chanteuses qui la jalouse!

- Pour ceux et celles qui désirent voir Ima à l'oeuvre, la prestation aura, lieu le dimanche 12 juin à 12 h 45!! On lui souhaite bonne chance!

Suzanne Lapointe - Elle va se faire booster là, n'est-ce pas?

snorounanne - Soyez pas jalouse, madame Lappointe... Et on a une photo comme preuve, bien entendu.

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 Séduisante... On lui souhaite de pas manquer son coup en chantant... Pas faire comme Garou!

snorounanne - Par la suite... vous voulez un café, madame Lapointe? On en offre du bon à cette émission.

Suzanne Lapointe - Je suis pas très café. Un verre d'eau serait apprécié

snorounanne - D'accord. Quelqu'un a entendu? Servons-lui une verre d'eau s'il vous plaît. Entre temps, faisons suite avec cette nouvelle, ce potin. Alex Perron et Mathieu Levert sont en couple depuis sept ans! Saviez pas ça vous non plus, madame Lapointe?

Suzanne Lapointe - Absolument pas.

snorounanne - Maintenant que Dany Turcotte a ouvert le bal en nous présentant son chum des dernières années sur le tapis rouge du Gala Artis, on aura droit à de belles révélations de nos personnalités québécoises homosexuelles. La prochaine surprise? Alex Perron a fait le grand saut et a décidé de présenter son conjoint à la première de Maxim Martin, Tout va bien! Ensemble depuis sept ans, le couple était tout sourire, mais s'est fait extrêmement avare de détails. Pas grave, l'important a été dit!

- Alex Perron a confié que ce n'était pas la première fois qu'il faisait une sortie publique avec son chum et qu'il avait quelques photos de tapis rouge en couple à son actif avec Mathieu (aux Gémeaux, aux Olivier...). Photo de mise.

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Lui y ferait genre: gay efféminé avec sa voix efféminée

Suzanne Lapointe - On voit pas son chum sur la photo... c'est d'valeur.

snorounanne - Il le montre juste en public qu'il a dit...

Suzanne Lapointe - Ah bon...

snorounanne - Puis cette belle nouvelle sur Kate Middleton et le Prince William vont débarquer au Canada cet été!

- Chers Canadiens et Canadiennes!! Nous aurons la chance de voir de près ou de loin ou pas pantoute le couple royal de l'heure et nous avons nommé: Kate Middleton et le Prince William! Ils visiteront le Canada d'un océan à l'autre, cet été, pour brandir la main et sourire, et ce, du 30 juin au 8 juillet! Ils seront donc de passage dans la ville de Montréal, mais également à Québec!

- Nous avons hâte (ou peut-être pas) de voir si plusieurs manifestants seront présents lors de leurs deux visites en terres québécoises parce que rappelons que ce magnifique voyage est payé par nous, contribuables canadiens que nous sommes! Alors, ils sont mieux d'aimer notre pays!

Suzanne Lapointe - On a une photo pour vous, mesdames et messieurs. J'ai bien dit ça?

snorounanne - Comme si c'était moi! Bravo!

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J'irai certes pas les courir...

Suzanne Lapointe - Vont-ils être de passage à Montréal?

snorounanne - Sur une enveloppe timbrée de leur photo, oui. (grand sourire) Et pour terminer, car l'heure achève, mesdames et messieurs. Shania Twain a son étoile sur le Walk of Fame.

- Une vedette canadienne de plus sur le trottoir le plus populaire de la planète, et nous avons nommé, le Walk of Fame d'Hollywood!! Notre chanteuse country, Shania Twain a en effet reçu l'honorable étoile hier, afin de féliciter son imposante carrière musicale.

- Saviez-vous que Shania a remporté 190 prix au courant de sa carrière, dont neuf Billboard Awards, cinq Grammys et cinq American Music Awards, pour nommer que ceux-là! Bravo!! Elle le méritait amplement!! Ça nous donne le goût de chanter « Man! I feel like a woman! » La photo suit:

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Elle... elle... en tout cas...

Suzanne Lapointe - Elle était sur les hautes, comme on dit! (riant)

snorounanne - J'osais pas le dire! (riant aussi) Madame Lapointe, ce fût une énorme joie de vous avoir eue à notre émission et je sais... on a pas parlé, on ne s'est pas entrenues sur vous mais... les gens iront lire vos recettes ou achèteront vos livres.

Suzanne Lapointe - Vous devriez le faire. Je suis certaine que vous apprendrez à cuisiner en moins d'un mois.

snorounanne - Un mois? Vous avez pas publié un livre de recette de cuisine pour les nuls?

Suzanne Lapointe - Non. En tout cas, pas moi. Mais, d'autres l'ont peut-être fait.

snorounanne - Merci madame Lapointe de vous avoir déplacée, d'avoir accepté l'invitation. J'ai beaucoup ri en regardant vos émissions les démons du midi et les autres d'avant.

Suzanne Lapointe - Je vous remercie, je me suis bien amusée.

snorounanne - C'est tout malheureusement, mesdames et messieurs pour cette émission. Soyez là au prochain rendez-vous et d'ici là, profitez de la chaleur! À bientôt!

Suzanne Lapointe - Oh attendez! Je me rappelle de la question? Ai-je le temps?

snorounanne - Dix-sept secondes...

Suzanne Lapointe - Étais-je considérée has been?

snorounanne - Comme une bean, exactement.

Suzanne Lapointe - Comme quoi?  (sautillant des épaules) Vous ne m'avez pas répondue correctement, vous.

snorounanne - Vous n'étiez pas à la bonne place pour la poser... désolée (riant) Okay! Bye bye tout le monde!

 

Et 3-2-1! Tout coupait. Je retirais mon micro et madame Lapointe fit le même geste. Je lui donnais une bonne chaude poignée de main et on s'embrassait sur les deux joues. Elle me félicitait pour avoir créé une émission d'informations, d'actualités et laissé libre à l'humour. Je lui disais que je n'avais rien créé, cela revenait tout à l'honneur aux concepteurs de l'émission et de l'emprise de monsieur Péladeau.

Il était 17:09 lorsque je marchais vers mon bureau. Et mesdames et messieurs, je vais vous faire le récit sur le rendez-vous mystérieux qu'on avait donné à Genny. Vous êtes tous bien assis? Vous n'avez pas envie d'une pause, d'aller dormir? Parce que... je ne vous oblige en rien de rester devant votre lecture, vous savez.

À 14:00 précisément, Genny attendait dans la minuscule salle d'attente pour 3 personnes. Elle était seule. Une porte s'ouvrait, un homme de race noire penchait sa tête.

professeur Fraser - Mademoiselle Dubois?

Geneviève Dubois - Oui.

professeur Fraser - Entrez s'il vous plaît.

Quelques secondes s'écoulaient. Un modeste bureau sombre avec des longueurs de bouquins titrés pour la plupart sur le paranormal.

professeur Fraser - (montrant le fauteuil) Prenez le fauteuil, je vous en prie. (elle s'y asseyait) Je vous ai servi un café.

Geneviève Dubois - Merci. Je me suis absentée du boulot sous prétexte que ma mère n'allait pas bien. J'ai menti.

professeur Fraser - Vous n'êtes pas ici à la confesse, mademoiselle Dubois. Si je vous ai demandée de venir, aujourd'hui, croyez-moi, je ne le fais pas par pure plaisanterie.

Geneviève Dubois - Le paranormal, la parapsychologie. Vous n'avez pas demandé la bonne personne. Snorounanne,...

professeur Fraser - Cela la concerne.

Geneviève Dubois - Alors... pourquoi m'avoir fait appeler? Si cela la concerne, je ne vois l'intérêt de ma présence.

professeur Fraser - Nous... nous sommes un groupe de chercheurs, nous approfondissons le paranormal et nous étudions plusieurs cas paranormaux dont celui de mademoiselle d'Humour. Nous l'avons suivie maintes fois et même que nous étions présents l'an dernier à cette espèce de congrès, de conférence.

Geneviève Dubois - ( un peu mal à l'aise) Je vois mais je ne comprends toujours pas.

professeur Fraser - Écoutez... nous savons que vous êtes sa conjointe. Vous vous êtes unies en janvier dernier. Je remarque la bague au doigt...

Geneviève Dubois - Peut-on en venir au fait, s'il vous plaît?

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discussion étrange...

professeur Fraser - Elle détient des codes secrets par ses écritures étranges que nous n'avons pues encore voir, de nos yeux. Elle n'avait juste formulé qu'elle possédait un cartable rouge codé de symboles et de signes très anciennes. Dont ces sortes d'écritures des Ummites. Et il peut en être un contenu d'alphabet de multi-langue ancienne.

Geneviève Dubois - Vous avez besoin de moi pour subtiliser ce cartable rouge. Est-ce que vous exigerez que je viole ses droits, son privé, professeur Fraser? Me demanderiez-vous de poser un tel geste à ma conjointe?

professeur Fraser - Elle a plus que ce cartable rouge, mademoiselle Dubois. Votre... votre conjointe, en vérité, détient une des clés immensément grandiose pour l'humanité et elle n'en est pas consciente.

Geneviève Dubois - (secouant de la tête) Non... non, je suis désolée. Mais on jurerait d'être dans un film de science-fiction. Je ne ferai pas ce que vous attendez de moi.

professeur Fraser - Avez-vous pu, seulement une fois, mettre la main sur ce cartable rouge et voir l'intérieur? Ce qu'elle a écrit?

Geneviève Dubois - Je regrette. (se levant du fauteuil) Je n'ai pas à répondre.

professeur  Fraser - Mademoiselle Dubois, je ne vous retiendrai pas plus longtemps. Mais lorsque vous passerez la porte, d'autres finiront par s'en charger.

Geneviève Dubois - Je ne peux rien faire. Et vous ne vous servirez pas de moi ni d'elle. Je ne vous laisserez pas agir comme bon vous semble sur elle.

professeur Fraser - Elle avait dit, à cette conférence, l'an dernier... C'est le temps des humanités. Bon sang... je donnerais,...

Geneviève Dubois - Votre peau pour savoir ce que cette citation signifie? Croyez-moi, vous perdez du temps. Elle n'est pas seule dans ce monde possédant un don.

professeur Fraser - Elle n'est pas encore tout à fait consciente de ce qu'elle est. (se levant aussi du fauteuil)

Geneviève Dubois - (ouvrant la porte et restant dans le cadre de la porte) C'est peut-être mieux ainsi, vous ne pensez pas? (quittant la pièce et l'immeuble)

professeur Fraser - (hochant la tête et se frottant le menton) C'est raté! (s'asseyant, prenant le téléphone et composant un numéro)

 

Les contacts faits, nous approchons de la fin de cette chronique, de cet éditorial. C'est une belle intrigue intringante, pas vrai? Vous suspectez qu'il y a de la fabulation là-dessous? J'admets que c'est romancé et toujours avec des vérités. Vous en êtes les seuls détecteurs de vérité, par contre.

 

madame Seadoo - On m'a fait savoir par un appel de source sûr que nous devons, à notre tour, faire en sorte que mademoiselle d'Humour soit en sécurité.

Pierre Karl Péladeau - Avons-nous le choix?

madame Seadoo - Je n'ai effectivement pas posé la question mais je peux les rappeler...

Pierre Karl Péladeau - Vous plaisantez là?

madame Seadoo - Mais oui...

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Est-ce du cirque? Qu'est-ce qui se mijote?

À vos armes! Appuyez sur le bouton de l'audio et écoutez la chanson de Debbie Gibson... "Lost in your eyes" Ne vous arrêtez pas sur ces bidules de conneries de cartable rouge. Personne ne sera autorisée à le voir, à moins d'un consentement inévitable. Oui, j'ai fait sensiblement la gaffe de l'avoir montré à quelques personnes véritablement réelles et oui, aujourd'hui, je ne suis plus en contact avec elles. Oui... il y a de quoi d'immensément grandiose au travers mais... vous savez... j'apprends sur le tas.

Je n'ai jamais su comment agir, réagir et même si je sais qui je suis et possible que je ne suis pas tout à fait consciente de l'ampleur de ce don, de cette force. J'y vais selon mon senti. J'ai de bons guides et un ange. M'enfin, je ne vous galvaniserai pas plus qu'il faut. On se revoit la semaine prochaine. Merci d'être de bons lecteurs. Je vous admire.

À bientôt! Bisous!


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