- La loi, c’est moi ! Et l’ordre !.
Héhé … le weekend fut chargé en émotions !. Petit achat au tabac du coin pour un peu de lecture et l’annonce par email du report de Deus Ex 3 (cf.billet d’hier GRRrrr !!!), j’ai eu l’agréable surprise de recevoir Darksiders en fin de matinée (merci Mme la factrice ^^) pour me défouler un peu.
Vous ayant déjà présenté le jeu dans ce billet, j’attaque directement le premier test du blog (avec une certaine émotion d’ailleurs ^^).
Guerre (War) est le protagoniste de Darksiders, l’un des quatre cavaliers de l’Apocalypse, fut trahi par les forces du mal et accusé d’avoir violé la loi sacrée en déclenchant l’Armageddon prématurément, provoquant ainsi une guerre entre les Cieux et les Enfers. Après la fin de cette bataille épique, qui a vu pour vainqueurs les armées des Enfers maintenant installées sur Terre, il fut traîné devant le Conseil Ardent, qui le condamne pour ses crimes. Ses pouvoirs retirés, déshonoré et seul face à sa mort, Guerre (War) reçoit l’opportunité de laver son nom ainsi que celui de ses frères et sœurs s’il retourne sur Terre pour rechercher la vérité et punir les responsables.
Vous l’aurez compris, la storyline (l’histoire) est très sombre, basée sur une manipulation et un font de complot, saupoudré de corruption, le tout relevé par une excellente ambiance apocalyptique avec un soupçon de chaos et de fatalité. En revanche, le jeu est « haut en couleur » avec ses textures vives et chatoyantes, ce qui nous laisse par moment une petite pensée d’espoir pour « rétablir l’équilibre ».
La carte du monde est plutôt grande pour un premier jeu de la saga (Darksiders 2 est prévu pour 2012), même si l’on parcours facilement les zones de cette dernière, via des « téléporteurs », que vous devrez découvrir et activer tout au long de l’histoire. La plupart des régions sont chaotiques, apocalyptiques et sombres, qui parfois nous délivres un sentiment de solitude totale.
Quelques régions sont toutefois « chatoyantes » et « verdoyantes » (des petits bouts de paradis), pour notre plus grand bonheur, avec tout pleins de monstres qui n’attendent qu’une chose : vous manger tout cru ^^.
En effet, vous aurez le droit à des jolies combats avec, au début du jeu, quelques petits monstres, pour évoluer au fur et à mesure, vers de plus gros spécimens et bien plus coriaces (logique me direz vous). Mais, (il y a toujours un mais xD) n’allez pas croire que les monstres seront les mêmes dans les zones A, B ou C tout le temps. Et oui, plus vous améliorez et maitrisez Guerre (War), plus les monstres deviennent difficiles à tuer, voir changent (remplacent les petits zombies ou autres joyeusetés), pour notre plus grand plaisir (ou cauchemar ^^). De beaux combats épiques en perspective .
Voici le Guetteur. Créature maléfique, engagé par le Conseil Ardent pour surveiller Guerre, quitte à le tuer s’il enfreint les règles. Parfois pénible et d’autres fois utile, le Guetteur est indissociable du cavalier. Dès le début du jeu, le Guetteur montre et utilise « sa puissance » face à Guerre, le traitant de « brave bête » en lui rappelant fréquemment qui est « le maître » (@¤$#&+§! de Guetteur ! ^^).
Malgré un vocabulaire très … fleuri et une puissance « supérieure » au cavalier, le Guetteur assistera au fur et à mesure, impuissant, à la régénération des pouvoirs, mais aussi de la force du légendaire cavalier (notamment lorsque Guerre retrouve Ruine, son cheval, le Guetteur panique, pour ensuite rabaisser le cavalier en minimisant la chose).
La palette des pouvoirs et capacités du cavalier est bien pensée et variée, même si je regrette un peu l’impossibilité de « combiner » des pouvoirs entre eux (une sorte de personnalisation des sorts).
L’ambiance crée par la bande son est excellente !. Elle varie en fonction des nombreux combats, lieux et environnements que nous sommes amenés à emprunter et explorer. Les rencontres avec des personnages ou boss du jeu sont toujours « jouissifs », car nous avons le droit à des magnifiques « cutes scenes » et cinématiques à chaque fois !. On sent qu’un gros travail a était fait sur ces points.
Je ne vais pas vous dévoiler la fin, loin de là, mais … elle est tout simplement EPIC !!! (comme disent les anglais ^^), et annonce bel et bien une suite, qui est actuellement en développement (indiqué plus haut) .
Bon, je pense ne rien avoir oublié. Place à la conclusion !.
.
Conclusion :
Bonne prise en main du gameplay, niveau de difficulté équilibré, scénario prenant avec une bonne durée de vie (12h à 20h en fonction du niveau de difficulté), sans oublier une belle bande son. THQ et Vigil Games nous livres un bon jeu d’action et d’aventures, avec un savant mélange de phases de combats sans pour autant oublier la partie exploration / casse tête. La collecte d’artefacts dépends grandement de cette phase d’exploration d’ailleurs, ce qui est logique et appréciable !. La durée de vie, déjà pas mal, est quasiment doublée voir triplée avec l’exploration des régions.
Un petit regret : l’absence de personnalisation ou combinaison des sorts, et une carte du monde de taille moyenne (à quand une carte du monde type Sacred 2 ? ^^).
Malgré ces deux petites ombres au tableau, Darksiders est un jeu très agréable à jouer et prenant. À posséder !.
Ma note : 16/20
Voilà, ce modeste petit test est terminé, c’est le premier que je réalise, alors allez y doucement si j’ai omis certaines choses, pas parlé des autres ou survolé certains points.
Toutes critiques, améliorations ou corrections sont les bienvenues, alors n’hésitez pas à vous exprimer vous aussi via les commentaires .