Article 2
Paragraphe 1
Les Etats parties s'engagent à respecter les droits qui sont
énoncés dans la présente Convention et à les garantir
à tout enfant relevant de leur juridiction, sans distinction
aucune, indépendamment de toute considération de race, de
couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique
ouautredel'enfant oudesesparentsou représentants
légaux , de leur origine nationale, ethnique ou sociale, de
leur situation de fortune, de leur incapacité, de leur naissance
ou de toute autre situation.
Les Etats engagés à respecter les droits
Assurent que l'enfant ne peut souffrir d'aucune
Discrimination de nos cerveaux étroits !
Certain que leur honneur connaît une lacune
Nous verrons les enfants d'une seule couleur
Ni la race, le sexe ou quelque soit la langue
Ne leur fera subir la plus simple douleur !
Ces mots rendent, ma foi, notre visage exsangue
Qu'importe l'opinion, l'ethnie et leurs parents,
L'endroit des premiers cris autant que leur richesse,
Les enfants sont égaux même très différents !
Si l'enfant est le nôtre et qu'il nous intéresse
Le gosse ne peut donc vivre en situation
Le menant dans la marge aux ordres d'un sauvage !
J'ai vu plus d'un paraphe engageant sa nation
Mais encor plus d'enfants soumis à l'esclavage
Article 2
Paragraphe 2
LesEtatsparties prennent toutes les mesures appropriées
pourquel'enfantsoitprotégécontretoutes formes de discriminationoudesanctionmotivées par la situation
juridique,lesactivités,lesopinionsdéclaréesoules
convictions de ses parents, de ses représentants légaux ou
des membres de sa famille.
Ainsi les nations, tous les Etats parties
Protègent les enfants des ségrégations !
Pourtant, de grands élus, épris de sympathies,
Ferment les yeux vivant de leurs ambitions
Dès lors, tous les parents aux concepts politiques
Contraires ne seront, un seul jour, soucieux
L'enfant n'endurant pas de leurs cas juridiques
Les affres condamnant ceux-ci loin des cieux
Ainsi les opinions, aujourd'hui, déclarées
Et les activités et les convictions
Ne feront pas subir, aux enfants, les curées !
Mais ils souffrent, pourtant, des inquisitions
La loi peut donc toucher à ceux de la famille,
A leurs représentants que l'on juge légaux,
Sans jamais condamner l'enfant…que l'on fusille
Sous les yeux de Pouvoirspréférant les lingots