Devenir!
PP le moqueur, sur son blog épatant, a parlé je ne sais plus quand de l'improvisation.Il a rappelé au passage qu'elle était traditionnelle chez les classiques et baroques t qu'elle co-existait avec la musique écrite;que le fait de "cuisiner" savamment un festin musical, une syphonie, n'empêchait pas que, par ailleur, on se livre à à l'exploration instantanée des possibles. L'aventure et le devenir: humanité!
Ronronnant d'aise.
MAis hélas, je ne le suis pas vraiment sur ce qu'il dit à propos du jazz.au contraire, cette improvisation qui redevient à la mode chez les classiques, ce qui est merveilleux (on la réservait nagure aux organistes et souvent, durant les mariages, on entendait un ragoût gnangnan, loin de Guillou!).Mais elle reste limitée à la tonalité, sauf exceptions. Et n'évite pas les clichés, les cadencesattendues.ce qui ne l'empêche pas de repaître merveilleusement mon estomac auditif qui digère ces merveilles en ronronnant d'aise comme un gros chat repu de bestioles innocentes qu'il a bien torturées.
Créateur.
Le jazz, vivant, toujours à la fois réac et novateur, conservateur et révolutionnaires, haï par les auditeurs aux esgourdes retreintes va bien plus loin on se foutant du prétexte (ou pas), un standard à la con. Il et beaucoup plus divers et créateur (j'avions pas s dit "créatif", ça va au-delà! de ce mot pour moindres) et Mc coy Tiner ou Pharaoh Sanders sont fort différents de Fats Waller ou de Charlie PArker tout en faisant partie d elamême tradition. Même l'improvistion flamenca, dans une musique sublime, mais fort codée, va explorer bien plus loi que l'impro classique... Mais je e doute pas que ça va évoluer et que Gabriella Montero a plein de musiques gouleyantes à nous offrir!
Envoi: classique, jazz, autre? Je veux TOUT! Fromage ET dessert et plutôt deux fois qu'une! J'ai faim: mes oreilles ont des dents! Vive la vie!