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La vérité sur la face cachée de Jack Lang !

Publié le 22 mai 2009 par Lbqd
La vérité sur la face cachée de Jack Lang ! Des bouquins « de » Jack Lang, il en aura paru des tonnes. Mais des bouquins sur Jack, il y en a beaucoup moins. Un livre choc raconte la face cachée du socialiste *1. Culotté au possible, extrêmement angoissé, attiré par les caméras comme les moustiques par la lumière, prêt à tous les reniements imaginables, dissimulateur, et rumeurs de pédophilie ! REVELATIONS !
ENFANCE ET CROYANCES !
Le livre s’ouvre sur l’enfance très bourgeoise à Nancy ; magnifique demeure, mais Jack est très vite élevé par son grand-père, et non par son père.
Plus intéressant : les rapports de Jack à la maçonnerie : son père et son grand-père étaient au Grand Orient, quant à Berthe Bouchet, la grand-mère maternelle, elle était vénérable du Droit humain. Jack et la maçonnerie, une vieille histoire d’amour…
A 34 ans, Jack est admis au Siècle, sorte d’anti-chambre de la maçonnerie, où se rencontre le tout Paris, qu’il fût de gauche ou de droite, le monde patronal, politique, financier, journalistique. Cruellement, Hollande aura cette petite phrase : « Comme il a cette formidable capacité de se lier, même superficiellement, avec tout le monde, un club comme Le Siècle était fait pour lui. »
JACK LE PEOPLE...
Jack c’est avant tout son amitié avec les artistes dits « engagés ». Lors de la première séance d’assemblée nationale avec la gauche, en mai 1981, il interdit l’entrée au public anonyme et place dans les balcons les "stars" de l'époque :  Piccoli, Nicole Garcia, Laurent Terzieff, Françoise Giroud, Alain Resnais, Costa-Gavras, etc...Mais Jack doit faire face à un problème familial : à la fin du mois de mai, son frère poignarde un homme dans un bar. L’affaire est étouffée, mais elle est grave : l’homme poignardé est un innocent père de famille. Jack présente sa démission à Mitterrand, lequel la refuse. Jack, reprend pied, fort de cette confiance du "père" et de ces amis artistes.
 
"MONIQUE, MA FEMME"
Sa femme,
Monique, surnommée « Madame Sans-Gêne » dans le ministère. Véritable femme de l’ombre, elle sera le bras armé de son mari. « C’est elle, maîtresse épouse, qui va procéder au tri de leurs relations au fur et à mesure de leur conquête du pouvoir. » Le 16 avril 1997, Julliard révèle dans le Canard enchaîné qu’elle a bénéficié de largesses de la Lyonnaise des eaux, en des proportions très supérieures à celles de Mme Tibéri. Mais, curieusement, elle ne sera jamais inquiétée. Deux poids deux mesures, toujours.
SEXUALITE ET PEDOPHILIE

Mais Jack, au-delà de cette politique paillette, ce sont aussi des rumeurs sur ses mœurs. Dès le 4 avril 1981, il est le seul homme politique à s’afficher publiquement en faveur d’une marche homosexuelle. Il fréquente très souvent le Palace, célèbre boite parisienne où se déroulaient de fameuses orgies homosexuelles.
De plus une rumeur d'un voyage "secret" à Marrakech avec un beau jeune homme se répenda dans les les années 90 dans toutes les rédactions de la capitale *2 . Quoi qu’il en soit, à ces rumeurs d’homosexualité s’ajoutent celles de pédophilies. C’est Gilbert Estève qui lui apportera un soir dans son bureau la nouvelle du scandale. Il aurait participé à des soirées pédophiles où des jeunes mongoliens auraient été abusés, en compagnie de Gilbert Durand, Willy Marceau. De surcroît, Durand et Marceau sont inquiétés par la justice. Les pétitionnaires de l’époque se mobilisent : Deleuze, Glucksmann, Sartre, Kouchner, Sollers, Catherine Millet, lesquels « ne comprendraient pas que des pédophiles ne recouvrent pas la liberté » prennent la défense des pédophiles. Seul hic : Jack a évidemment signé la pétition. Il sera encore un peu plus associé à la pédophilie. Les auteurs du livre sont très prudents sur cette question de pédophilie ; ils se contentent de rapporter quelques faits, un peu à l’image de l’Express qui, sans pencher d’un côté ou d’un autre, rappelait qu’en 1996 avait à nouveau explosé une affaire de pédophilie autour de Jack et de son épouse. « En 1996, un «blanc» - document non signé - des Renseignements généraux fait allusion à une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note… détruites depuis. » Etrange.
L'ARGENT (Le Point)
Les deux auteurs rapportent une scène inouïe, qui se déroula en 1992, au restaurant : un homme paye pour Jack, à l’aide d’une carte bleue.
Jack : « C’est quoi ça ? » « Oui, c’est quoi cette carte, comment ça marche ? »
Le type :  « eh bien c’est une carte bancaire… et elle permet de payer ! »
« Les restaurants ? »
« Oui entre autres… mais pas seulement… dans les boutiques, les stations-service, les supermarchés. Un peu partout !
» Discours hallucinant qui témoigne de l’ignorance absolue de la réalité quotidienne. C’est que Jack et l’argent c’est une histoire un peu tumultueuse : lorsqu’on lui évoque ses deux propriétés, celle de la place des Vosges et la résidence du Lubéron, il s’emporte : « Franchement, quand on a 60 ans, posséder un appartement de 160 mètres carrés et une petite bicoque dans le Lubéron, où est le problème ?. » Ce n’est pas faux mais 160 mètres carré place des Vosges ce n’est pas à la portée de tout le monde et la « bicoque » dans le Lubéron, c’est un peu osé : Une belle maison de 192m² dans le Vaucluse… Plein de son habituel culot, Jack dira « C’est une petite bicoque avec un bassin. Quand on est plus de trois personnes à l’intérieur, on étouffe.» Etouffer dans près de 200m² c’est insultant, on comprend que Jack compatisse pour des clandestins entassés dans un gymnase… D’où tire-t-il autant d’argent ? Nul ne le sait ; peut-être des mesquineries hallucinantes de Monique qui offre à Noël des boîtes de chocolats entamées, des cravates usagées, des bibelots brisés… Jack est ainsi bien plus radin en privé qu’en public ; on apprend que lorsqu’il dirigeait la rue de Valois, des subventions proprement stupéfiantes étaient accordées aux amis sous des motifs sentant bon l’alibi. Le plus représentatif est certainement « la minute du chien », enregistrement d’une minute d’aboiements canins à l’usage des oreilles de chiens, produite par l’OCTET, société écran de détournements financiers !
SOURCES*1  Docteur Jack et Mister Lang de Nicolas Charbonneau, Le Cherche-Midi, 2004.
*2 Sexus Politicus de Christophe Deloire, Albin Michel, 2006.
- L'argent (Le Point)

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LES COMMENTAIRES (12)

Par alexis
posté le 13 juin à 13:49
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L´appartement de la place des vosges de monsieur Lang n´était il pas la propriété des parents de Daniel BUREN ? L´achat de cet appartement a-t-il eu lieu avant ou après la commande par le ministère de la culture des fameuses colonnes de monsieur Buren ? A quel prix cet appartement a-t-il été acheté ?

Par Cassandre
posté le 12 juin à 21:22
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A lire l'article je me doutais que Lang sentait les égouts mais à ce point ! Il est glauque , tordu et malhonnête . Si la justice et les médias faisaient réellement leur boulot , c'est à dire punir et dénoncer les scandales , renoncer aux étouffements notre pays s'en porterait que mieux . Marre de voir un bande d'incapables , fous de pouvoir et de fric , il est temps que ce pauvre pays retrouve sa dignité .

Par johar
posté le 11 juin à 23:01
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La démocratie, quelle grosse entourloupe, la gauche, la droite tous les mêmes, ne pensent qu'à leurs propres cas. Que le peuple travaille et se meurt. Vivement les extrêmes, après tout on y gagnera peut être.

Par artonien
posté le 06 juin à 13:54
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Ses années à Nancy ont aussi laissé des traces pour certaines bien nauséabondes.Qu'on en finisse et qu'il prenne définitivement sa retraite, il ne sait que mettre des bâtons dans les roues de jeunes qui ont eu aussi droit à occuper le pouvoir.

Par PG
posté le 05 juin à 20:28
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Etonnant et ecoeurant ? Ecoeurant surement, mais pas étonnant. Si les allégations portées contre M Lang s'avèrent vraies, ce ne sera que le deuxième pédophile qu'on accueille les bras ouverts (et les yeux fermés) avec un ministère en guise de bienvenue. L'autre, M Mitterrand, a meme decrit le plaisir qu'il ressent(ait) a avoir des relations avec de jeunes enfants dans un bouquin de 600 pages que personne ne semble avoir lu ni entendu parler.

En France, Quand des révélations spectaculaires pointent des faits de pedophilie commis par un ex-ministre, il y a DEUX personnes qui se sentent visées. Nous vivons une époque formidable.

Par david
posté le 05 juin à 04:41
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Où trouve-t-il tous cette argent ? Simple avec ces emplois de députés, ministre etc… Y'a t-il travaillé, non, suffit de voir sa fiche sur l'assemblée nationale, tout comme beaucoup de ces confrère d'ailleurs. Si maintenant il est avéré qu'il est coupable de pédophilie, qu'on le mette vite en prison. Ouai on peut rêver, on est pas en amérique, suffit de voir comme Frédéric Mitterand s'en est sorti, et il est toujours ministre de la culture… Quelle honte ! Va vraiment falloir rendre le pouvoir au peuple et foutre tous ces détraqués qui nous dirigent en prison.

Par isa
posté le 03 juin à 11:21
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... il y bien longtemps que bruissent ces infos ! et comme il n'y a pas de fumée sans feu... rien qu'à voir sa gueule, malgré lift sur lifr, il n'a rien d'un doux grand-père ... en plus si madame partage les séances avec enfants trysomiques... j'en pleure, sincèrement.

Par l'Incrédule
posté le 02 juin à 11:01
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J'ai bien connu Gilbert Estève, ex-chef de cabinet de Jack Lang, puis Maire de Sélestat (Bas-Rhin ). Estève décrivait, racontait, se confiait sur la vie tumultueuse, obscure et sexuelle de Jack Lang. Edifiant ! Qu'un tel homme ait pu occuper les postes ministériels aussi importants surprend et écoeure...

Par lekabyle
posté le 01 juin à 11:46
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Le monde politique Français part en vrille. On va apprendre bientôt que Carla fait des passes au bois, que fillion se tape des vaches, Jospin se pignole dans de l'eau salée avec un poulpe, Besancenot organise des soirées SM, Morano aime les pinces à seins et Bachelot les godes ceintures. L'élysée étouffe cependant des scandales avec des petits garçons en 1980 impliquant J.L au maroc ce que dénonce Raffarin mais sans recevoir d'écho bizarrement. Si on suit Dati en fait tous les gouvernements depuis 1980 sont complice de non dénonciation de crime. MARINE VIIIITE !!!!!!!!!

Par Colin Vestigateur
posté le 01 juin à 11:08
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Bon sang mais c'est bien sûr !! Entièrement d'accord avec Miss Onyme ;)

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