Magazine Insolite
On dirait du Klaus Schulze par sa répétitivité mélodique qui monte en des boucles heureusement hypnotiques.
Je me rappelle d'un article de Rock&Folk qui descendait en flammes le maître de la musique planante allemande disant que c'était juste bon à mettre un bruit de fond tout pendant que l'on collait du papier peint. Quel con !
Combien de fois, adolescent, mon corps astral a-t-il décollé mollement au-dessus de mon lit, tandis que je m'immergeais, les yeux fermés dans les walkyries synthétiques de trente minutes. Cette sensation, je ne la retrouve plus, malheureusement ou heureusement. Plus ou bien rarement, au tournant d'une derviche répétitivité mélodieuse, comme ici, ce type, assis dans les rues d'Amsterdam, devant d'ignorants passants blasés qui pensent que ce qui se fait danns la rue ne vaut pas le détour. Alors, je me serais bien assis à côté de ce gars-là, à retrouver cette chaleureuse sensation des Moog voluptueux de Klaus Schulze ou Tangerine Dream.
Klaus Schulze vient de sortir un double album lunaire avec la chanteuse de Dead Can Dance, Lisa Gerrard.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 11 septembre à 11:03
Bonjour, Je vous propose de venir découvrir cet instrument accompagné par un didgéridoo et des percussions sur le teaser de la vidéo que nous avons créée lors du festival le rêve aborigène cet été. Suivez le lien ci dessous: http://www.1001souvenirs.fr/evenement.php?id=3